to Pablo Neruda
Tu es dans tous nos rêves
Tu viens de loin
Tu portes le cri de liberté
Des Mapuches, des races du sud,
Qui est resté là
Dans les habitations naturelles
A demi clairsemées
De la cordillère du sud
Accompagné du chant infini des rivières.
Tu es passé avec ta parole libre
Réveillant les humidités endormies de Témuco
Témuco capitale de l'histoire
Là ou l'envahisseur fut vaincu
Par notre race courageuse.
Santiago fut le berceau de tes rêves juvéniles,
Tu les chantais aux amoureux
Vingt poèmes d'amour et ce chant désespéré
Là dans les quartiers sauvages
Ta poésie fut un souffle d'amour et d'éternité.
En terre lointaine tu aimas et tu fus aimé,
Quand la patrie chilienne regardée de ces longues distances
Etait un point noir, très loin
Pour laquelle tu souffrais
Et un jour tu te disais à voix haute
" Quand je serai avec toi…. "
Les rêves de liberté et pour un monde différent
Appartiennent aux opprimés pour qu'ils se lèvent au combat
Là-bas dans les universités, dans la ville
Dans les avenues de la grande patrie
On écoute ta chanson de geste.
Ta poésie t'emmena au désert d'atacama
Ensemble avec Elias, Luis Emilio, Juan, beaucoup de gens de la pampa
Là-bas tes vers donnèrent plus de force au combat prolétarien,
Là-bas tu dormis dans les lits durs du peuple
Ta poésie devint plus rebelle, plus sûre,
Tu allas décocher le cœur de l'injustice.
Ambassadeur du peuple
Capitaine et poète des peuples en lutte
Humble combattant, adroit dans les mots,
Et le candidat jeta un cri au temps,
Aujourd'hui encore j'entends cette belle mélodie
Lancée une nuit au centre de Santiago,
Tu étais le meilleur de tous, tu étais loyal,
Ta place occupée par un autre combattant
Et se fut le compagnon Président.
Tu es terre chilienne,
Cette terre qui nous a donné la vie, le sourire, la nourriture
Et la force de poursuivre tes rêves.
Un jour la lâcheté s'est installée dans ta patrie aimée,
De ton lit de malade,
Tu souffris de voir comment ton peuple était assassiné,
Et tu fus de cette terre combattante
Tu t'es isolé au nom de tous les justes
Le premier à combattre l'oppresseur, te tuant pour ne pas mourir,
Ta force est restée dans les mains du peuple
Tu es le chant d'une chanson qui ne sera jamais oubliée.
Pablo, père du Chili de liberté
Sais-tu ?
La lutte contre l'empire maudit
S'est étendue dans toutes les régions du monde,
De nouveau nous allons en inventant d'autres formes,
Ta poésie est portée par ces nouveaux combattants,
Qui viennent aussi de loin, de l'épaisseur du temps
Nous allons toujours vers la vérité
Recherchant la liberté absolue.
Et du haut du ciel, tout près de la terre,
A coté de la mer, regardant les étoiles,
Tes vers sont écrits sur un grand drapeau
Qui passe de main en main
Dans ces avenues ou tu es présent.
Pedro Piñones Diaz
Chilean poet
Tu es dans tous nos rêves
Tu viens de loin
Tu portes le cri de liberté
Des Mapuches, des races du sud,
Qui est resté là
Dans les habitations naturelles
A demi clairsemées
De la cordillère du sud
Accompagné du chant infini des rivières.
Tu es passé avec ta parole libre
Réveillant les humidités endormies de Témuco
Témuco capitale de l'histoire
Là ou l'envahisseur fut vaincu
Par notre race courageuse.
Santiago fut le berceau de tes rêves juvéniles,
Tu les chantais aux amoureux
Vingt poèmes d'amour et ce chant désespéré
Là dans les quartiers sauvages
Ta poésie fut un souffle d'amour et d'éternité.
En terre lointaine tu aimas et tu fus aimé,
Quand la patrie chilienne regardée de ces longues distances
Etait un point noir, très loin
Pour laquelle tu souffrais
Et un jour tu te disais à voix haute
" Quand je serai avec toi…. "
Les rêves de liberté et pour un monde différent
Appartiennent aux opprimés pour qu'ils se lèvent au combat
Là-bas dans les universités, dans la ville
Dans les avenues de la grande patrie
On écoute ta chanson de geste.
Ta poésie t'emmena au désert d'atacama
Ensemble avec Elias, Luis Emilio, Juan, beaucoup de gens de la pampa
Là-bas tes vers donnèrent plus de force au combat prolétarien,
Là-bas tu dormis dans les lits durs du peuple
Ta poésie devint plus rebelle, plus sûre,
Tu allas décocher le cœur de l'injustice.
Ambassadeur du peuple
Capitaine et poète des peuples en lutte
Humble combattant, adroit dans les mots,
Et le candidat jeta un cri au temps,
Aujourd'hui encore j'entends cette belle mélodie
Lancée une nuit au centre de Santiago,
Tu étais le meilleur de tous, tu étais loyal,
Ta place occupée par un autre combattant
Et se fut le compagnon Président.
Tu es terre chilienne,
Cette terre qui nous a donné la vie, le sourire, la nourriture
Et la force de poursuivre tes rêves.
Un jour la lâcheté s'est installée dans ta patrie aimée,
De ton lit de malade,
Tu souffris de voir comment ton peuple était assassiné,
Et tu fus de cette terre combattante
Tu t'es isolé au nom de tous les justes
Le premier à combattre l'oppresseur, te tuant pour ne pas mourir,
Ta force est restée dans les mains du peuple
Tu es le chant d'une chanson qui ne sera jamais oubliée.
Pablo, père du Chili de liberté
Sais-tu ?
La lutte contre l'empire maudit
S'est étendue dans toutes les régions du monde,
De nouveau nous allons en inventant d'autres formes,
Ta poésie est portée par ces nouveaux combattants,
Qui viennent aussi de loin, de l'épaisseur du temps
Nous allons toujours vers la vérité
Recherchant la liberté absolue.
Et du haut du ciel, tout près de la terre,
A coté de la mer, regardant les étoiles,
Tes vers sont écrits sur un grand drapeau
Qui passe de main en main
Dans ces avenues ou tu es présent.
Pedro Piñones Diaz
Chilean poet
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